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Et si l’épigénétique était une autre façon d’aborder les théories de Hamer, Fréchet et Sabbah.

Il y a peu, les scientifiques estimaient que le génome humain contenait près de 100.000 gènes selon un dogme préétabli que plus il y aurait eu de gènes plus l’être vivant aurait été performant.

Ils ont dû déchanter lorsqu’ils en ont trouvé moins de 30.000, moins que chez certaines plantes.

Toujours est-il que c’est à grand renfort de publicité et de communiqués de presse qu’on a annoncé que beaucoup d’enfants souffraient du même stress que leurs parents survivants de l’holocauste et que par conséquent ils portaient le gène de l’holocauste.

Rachel Yehuda, psychologue au Mount SinaÏ Hospital s’étonnait de ce phénomène et croyait qu’il s’agissait d’un conditionnement psychologique. Elle supposait que les parents avaient encore et encore ressassé ces événements devant leurs enfants.

Cette théorie est aussi tombée avec l’écroulement des tours jumelles de Manhattan. En effet les bébés nés après le drame présentaient un niveau de stress inhabituel alors qu’ils étaient incapables d’entendre les commentaires de leurs géniteurs.

L’épigénétique met en évidence que si les gènes sont immuables, ils ne gouvernent que la structure c’est-à-dire les plans de construction de notre corps mais qu’ils n’en commandent pas les adaptations fonctionnelles aux modifications de l’environnement seconde après seconde.

L’épigénétique étudie la modification des brins d’ADN par un mécanisme chimique appelé méthylation. Cette méthylation agit comme un interrupteur : le gène est allumé, il ordonne à la cellule de faire certaines choses inhabituelles ; l’interrupteur est éteint, le gène est inactif et la cellule poursuit son fonctionnement « de routine ». L’activation du gène est le résultat d’une modification de l’environnement matériel aussi bien qu’émotionnel.

On peut, sans trop s’avancer, constater que R.G. Hamer décrit ce comportement cellulaire dans sa théorie de l’apparition de la maladie et de sa persistance :  le comportement modifié reste actif tant que le conflit reste actif (DHS).

Marcus Pembrey se demande pour quelles raisons les gènes transmettraient le souvenir d’événements d’une génération à l’autre.

Claude Sabbah développe dans sa théorie que le cerveau automatique vise la survie de l’espèce via celle de l’individu et que le rôle des transmissions trans-générationnelles et du projet et du sens est d’augmenter les capacités de survie de l’individu pour qu’il reste en vie à chaque instant en utilisant le vécu des générations précédentes.

Pembrey met en évidence et s’étonne lui aussi que la même modification du chromosome 15 se traduise par un syndrome de Prader-Willi si l’atteinte est transmise par le père et un syndrome d’Angelman si elle transmise par la mère, comme si les gènes savaient d’où ils venaient.

Marc Fréchet et C. Sabbah avaient fait cette découverte par des voies empiriques et ont proposé pour le premier et complété pour le second la théorie du Projet et du sens.

Nous avons abordé et établi une corrélation entre les bases de l’épigénétique et les concepts de Médecine Nouvelle, de Biologie totale et de Projet et de sens. Nous verrons plus tard le détail de cette réflexion.

Roberto Fradera, le 25 mai 2017

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